Je suis membre de la Corporation Internationale des Thérapeutes en Relation d’Aide du Canada.
Reçu pour impôts et assurances.
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Au Québec, le PL 21 (ou la loi 28) modifiant le Code des professions et d’autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines est entrée en vigueur en juin 2012. Il redéfinit les champs d’exercice de plusieurs des professionnels de la santé mentale et des relations humaines et vient réserver à ceux-ci des activités à risque de préjudices. Au nombre des changements importants apportés par la loi, il faut compter l’encadrement de la psychothérapie dont l’exercice est dorénavant réservé et l’établissement, par règlement, d’une liste d’interventions qui ne constituent pas de la psychothérapie, mais qui s’en rapprochent et parmi lesquelles se situe la relation d’aide telle qu’enseignée et pratiquée au CRAM. Nous accueillons favorablement la mise en vigueur de cette loi qui distingue bien les champs de pratique de chacun et nous donne une place de choix, celle qui nous ressemble vraiment. En effet, la relation d’aide par l’ANDC pratiquée dans son essence correspond clairement aux interventions non réservées.
La liste des interventions non réservées, définies par règlement de l’Office des professions, ne constituent pas de la psychothérapie, bien qu’elles s’en rapprochent. Notre pratique de la relation d’aide par l’ANDC se situe à l’intérieur des définitions des interventions non réservées suivantes :
Les diplômés du CRAM peuvent pratiquer en toute légalité en respectant le cadre de leur pratique. Le CRAM a le souci de former des thérapeutes qui pratique en conformité avec loi. Ils doivent accéder à une association professionnelle, la CITRAC pour le Québec et l’AETRA pour l’Europe, et ainsi porter le titre réservé de «TRA, Thérapeute en Relation d’AideMD». Cette adhésion leur permet de recevoir le ressourcement nécessaire pour être à la fine pointe de l’ANDC et en constante conformité avec la loi. Ils bénéficient d’un encadrement professionnel et sont régis par un code d’éthique et de déontologie qui assure la protection du public. La CITRAC et l’AETRA voient aussi à défendre et promouvoir les intérêts de leurs membres.